Le statisme définitionnel du génocide.

Le statisme définitionnel du génocide. est un livre à télécharger gratuitement en EPUB, PDF et MOBI par l'auteur Pierre-Claver Mupendana

Ce livre est GRATUIT sur Amazon

Le statisme définitionnel du génocide.

La définition du génocide, qui a ainsi été appliquée dans de longues procédures devant les juges des tribunaux militaires de Nuremberg et de Tokyo, de la Cour pénale internationale pour l'ancienne Yougoslavie, de la Cour pénale internationale pour le Rwanda, ... il semble statique, unirénéale et unlinéaire étroit: statique pour ne pas évoluer avec les relations sociales sur lesquelles il est invité à postuler, Unilinéaire parce que l'inspiration et l'invente sur la base d'une et d'une seule expérience juive horrible, lorsque toute l'humanité a connu des foules et continue de savoir aujourd'hui. Cependant, en raison de son efficacité, de sa crédibilité universelle et de son appropriation absolue tout au long de l'humanité, il a dû cristalliser toutes les expériences vécues par d'autres peuples, Petit parce qu'il ne met pas complÚtement en évidence tous les éléments constitutifs de ce crime ... Cette définition a été amputée par sa véritable historicité, parce que le génocide est commis dans le temps et doit le traduire. Sinon, il était important que toutes les caractéristiques qui se sont jointes puissent couvrir tous les incidents plausibles dans n'importe quelle situation de violence forte.
La dĂ©finition du gĂ©nocide ne devrait pas obscurcir leur couleur politique, car ceux qui commettent le crime de gĂ©nocide ont toujours la prĂ©occupation de dominer, d'escalader les sommets d'une organisation et l'exercice du pouvoir temporaire dans une sociĂ©tĂ© organisĂ©e, Ă  la tĂȘte de Un gouvernement, un État et les problĂšmes qui lui sont attribuĂ©s
Il ne faut pas oublier que cette définition ne devrait pas s'éloigner de son caractÚre sociologique, car l'acte génocidaire fait partie intégrante du fait social.
Il serait regrettable que le gĂ©nocide ait Ă©tĂ© emprisonnĂ© pour toujours dans ce mot trop ​​immergĂ© dans l'histoire de l'Holocauste juif, qui priverait la convention sur la prĂ©vention et la rĂ©pression de la convention de prĂ©vention et de rĂ©pression de la rĂ©pression du crime. du gĂ©nocide de 1948.. Il semble impossible d'accorder des catĂ©gories thĂ©oriques et une analyse des Ă©vĂ©nements rĂ©els. Si nous faisons confiance au consensus le plus rĂ©pandu parmi les historiens, alors nous considĂ©rerons, avec des rĂ©serves, que le gĂ©nocide couvre le seul XXe siĂšcle et se compose de quatre Ă©vĂ©nements: le gĂ©nocide des ArmĂ©niens par le gouvernement turc, celui des Juifs par les nazis. L'Allemagne, celle qui a eu lieu au Cambodge perpĂ©trĂ©e par le Khmer Rouge et celle des Ruandes Tutsi et Hutu. Mais ensuite, nous rĂ©alisons que le mot gĂ©nocide couvre une Ă©numĂ©ration de faits et ne connaĂźt pas de dĂ©finition.
Enfin, certains mettent en évidence la spécificité d'Auschwitz et distinguent l'Holocauste, la Shoah, des autres génocides, au point de parfois en fait le seul génocide de l'histoire. Le fait que le mot génocide est une invention de la seconde moitié du 20e et son origine de l'extermination concertée et organisée des Juifs participe à ce lien difficile entre le mot et les événements.
Enfin, l'auteur souligne que l'essence d'un génocide, en tant qu'événement historique, est vraiment une extermination. Ce mot revient tout au long de l'histoire de l'humanité. Cette extermination vise toujours l'un ou les trois objectifs à atteindre dans l'intentionnalité génocidaire selon Jacques Sémelin: l'éradication, ainsi que la soumission et la déstabilisation.

Ce livre est GRATUIT sur Amazon

Autres livres de Pierre-Claver Mupendana

Actu et Politique et Société